Pris au piège ...

Voilà ! Ce que j’appréhendais me tombe dessus. Mes travaux de pose de fenêtres se sont mal terminés. J’ai coupé court à leur exécution vu l’incompétence flagrante des deux compères délégués sur place. Leur maladresse ostentatoire m’a fait craindre le pire.
Avec le recule, j’en viens à penser que leur démarche était peut-être feinte. En effet, si le remontage des volets sur un châssis adapté plus leur réglage plus la dépose et repose de l’une des fenêtres plus la finition des encadrements intérieurs devaient leur incomber, une journée, même deux, à deux ouvriers n’y suffirait pas et l’entreprise risquait de « se bouffer la culotte ».
Le devis initial avait déjà été âprement négocié et le patron, prévenu par téléphone de ma décision, préféra lâcher la ristourne de cinq cents euros que je lui demandais en échange des finitions plutôt que l’exécution complète du contrat.
Il avait sans doute flairé le client pointilleux qui ne laisserait passer aucun défaut et le « geste commercial » qu’il me consentait le dédouanait d’un supplément de travaux non rentable. De plus ce chantier avait pris du retard, le mois d’août était bien entamé et la maison fermait pour cause de congés annuels.
Que feriez-vous à ma place ?
À l’usage les malfaçons apparaissent les unes après les autres.
Non seulement il reste encore à faire mais ce qui est fait est de travers.
Et me voici sur le terrain juridique : associations de consommateurs, lettre recommandée, assurance travaux, constats d’experts, huissiers, plaintes, etc. …

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